« Les Petits Frères des Pauvres et toute son équipe sont une lumière dans ma vie. Ils y ont chassé la solitude »
L’isolement, une souffrance au quotidien
- « Je suis tellement seule que j’ai l’impression d’être sur une île déserte. » – Edith, 76 ans
- « La seule personne que j’ai vue de la semaine, c’est l’électricien qui m’a remis des ampoules. » – Berthe, 71 ans
- « Je suis seule, seule jusqu’à la fin. Tout le monde comprendra seulement quand la vieillesse viendra. » – Anne-Marie, 86 ans
Ces phrases disent tout : la solitude n’est pas un simple manque de compagnie. C’est un poids qui enferme, une douleur qui isole davantage encore.
Les Petits Frères des Pauvres, une présence qui change tout
Face à cette détresse, nos 14 500 bénévoles tissent chaque jour des liens concrets : visites à domicile, sorties collectives, séjours de vacances, repas partagés, soutien matériel. En 2024, 26 190 personnes âgées ont bénéficié de nos actions, dont 16 361 accompagnées dans la durée (+43 % en dix ans).
Et les personnes accompagnées le disent avec leurs mots :
- « Les Petits Frères des Pauvres et toute son équipe sont une lumière dans ma vie. Ils y ont chassé la solitude. » – Marie-Claire, 61 ans
- « Les bénévoles sont venus me voir la semaine dernière. J’étais contente ! » – Christiane, 73 ans
- « Avant, je ne parlais plus. Aujourd’hui je revis grâce à vous. » – Paulette, 87 ans
« Mon plus beau cadeau, ce sont les Petits Frères des Pauvres. Vous savez très bien que nous sommes les oubliés, nous sommes invisibles »
Des liens qui redonnent goût à la vie
Ce qui frappe dans ces témoignages, c’est la force retrouvée grâce à une simple présence humaine :
- « Corinne, c’est comme ma fille, elle me consacre tous ses samedis depuis 8 ans. Sans les Petits Frères des Pauvres, je ne serais plus là. » – Odette, 96 ans
- « Mon plus beau cadeau, ce sont les Petits Frères des Pauvres. Vous savez très bien que nous sommes les oubliés, nous sommes invisibles. Le meilleur cadeau, c’est votre présence. » – Jeanne-Rachel, 73 ans
- « Sortir de chez soi, ça fait un bien fou et ça enlève l’angoisse. » – Alain, 76 ans
Au-delà de l’accompagnement matériel, c’est une véritable fraternité qui se construit. Une présence régulière, gratuite, sans contrepartie, qui permet à chacun de se sentir encore pleinement vivant.
Agir ensemble pour que plus aucun aîné ne soit oublié
L’isolement des personnes âgées n’est pas une fatalité. Mais face à l’ampleur du phénomène, la mobilisation doit être collective :
- des politiques publiques plus ambitieuses,
- un meilleur repérage des personnes les plus isolées,
- et surtout, un engagement citoyen pour que chaque voisin, chaque proche, chaque bénévole devienne un maillon du lien social.
Avec vous, nous pouvons élargir ce cercle de solidarité et offrir à chaque personne âgée un regard, une écoute, une présence.
À LIRE AUSSI :