Dans un contexte social de plus en plus dégradé – où l’accès à l’alimentation n’est plus garanti à toute personne en situation de précarité – Marseille, deuxième ville de France, ne compte qu’un seul restaurant social (le restaurant NOGA), dont le rôle est donc essentiel même s’il reste malheureusement insuffisant.Dans ce contexte déjà difficile, les primo arrivants (en attente de l’ouverture des droits et de l’allocation temporaire d’attente) se voient aujourd’hui privés de cette ultime réponse. En effet, depuis le 11 mars dernier, la Plate-forme Asile ne peut plus orienter les demandeurs d’asile primo-arrivants vers le seul restaurant social de notre ville. Ainsi des personnes, des familles et des mineurs sont aujourd’hui laissés sans aucune possibilité de se nourrir.Cette situation serait engendrée par des restrictions budgétaires décidées par les Services de l’asile de la Préfecture des Bouches du Rhône, sans aucune concertation préalable avec les acteurs partenaires. Plus d’infos (PDF 272 ko)
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