Le décès récent de ma femme adorée m’a laissé désemparé, déprimé ; j’ai « pris » 10 ans de plus en 2 mois ! Des sorties au bord de mer avec de nouvelles connaissances féminines me semblaient si improbables, que je n’y pensais pas pour une nanoseconde. On me prescrit des antidépresseurs, et anxiolytiques.Je connaissais les petits frères des Pauvres depuis longtemps en tant que donateur; mais je n’imaginais pas qu’ils seraient à même de m’être du moindre secours dans ma situation désespérée. Heidegger dit « Il n’y a pas de guérison de la condition humaine, » ce qui me paraît très juste.Mais, grâce à docteur petits frères , Antonia et Mireille me rejoignent un samedi midi, me transportent à Palavas, où, dans un excellent restaurant de leur connaissance, elles m’ont régalé d’un plat de moules-frites de rêve, et dispersé mes idées noires avec une conversation des plus légères ! Comme palliatif ça valait toutes les pilules de la pharmacopée, et sans effet secondaire!Merci à tous concernés dans cette entreprise, Antonia, Mireille, et le… docteur petits frères. Elliot StoneVous pouvez écouter la conversation’enregistrée avec Elliot : Le siècle à l’horizon – L’Amour & La Guerre
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