Témoignages : grâce aux bénévoles des Petits Frères des Pauvres, la vie de ces personnes âgées a changé !

Grâce aux Petits Frères des Pauvres, la vie de ces personnes âgées a changé. © Jérôme Coton / Petits Frères des Pauvres
Grâce aux Petits Frères des Pauvres, la vie de ces personnes âgées a changé. © Jérôme Coton / Petits Frères des Pauvres

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Depuis qu’ils sont accompagnés par les Petits Frères des Pauvres, ces aînés isolés ont retrouvé le sourire, refait quelques pas, regagné confiance en eux… tout simplement repris goût à la vie. Ils expliquent ce que les visites des bénévoles leur apportent. Des témoignages émouvants…

Parler et remarcher en confiance aux côtés d’Annie

« Les Petits Frères des Pauvres, ça m’est très précieux. Avant je ne parlais plus… et c’est Annie qui m’a fait faire la première marche après mon opération du fémur », révèle Paulette, 87 ans, accompagnée par les Petits Frères des Pauvres de Loire-Vignoble (44).

>> Lire tout le témoignage de Paulette

Des vacances créatrices de lien social et synonymes de progrès pour Mireille

« Je suis déjà partie l’année dernière à Grézieu-la-Varenne, c’était bien mais c’était encore mieux cette année à La Seyne-sur-Mer ! J’ai ADORÉ ! J’ai eu de très bons contacts, de bons échanges avec les autres. C’est d’ailleurs le meilleur souvenir que je garde de ce séjour… cette vie en groupe ! Il faut dire que les échanges humains me manquent terriblement… Moi toute seule dans mon appartement, je suis confinée, là ça me tire un peu de tout ça. J’ai aussi pu m’améliorer au niveau de la santé physique : je suis handicapée du pied et là j’ai fait d’énormes progrès parce qu’on allait tous les jours à la plage et que je pouvais faire mes exercices dans l’eau. », explique Mireille, 70 ans, accompagnée par les Petits Frères des Pauvres d’Annecy (74) qui a eu la chance de partir en séjour début juin 2021 au sein de la maison La Villa des Fleurs de La Seyne-sur-Mer (83).

Un logement au sein d’une pension de famille pour Serge

« Je suis à la retraite avec une pension minime. Ce futur logement va me sortir définitivement de la rue. C’est énorme de ne plus être à la rue… », témoignait Serge, quelques semaines avant d’entrer au sein de la pension de famille Labadié à Marseille (13). « Je suis à peu près sauvé », remerciait-t-il.

>> Lire le témoignage de Serge

Dalila a pu revoir sa famille 

Dalila, partie aux Philippines, grâce aux Petits Frères des Pauvres.

« Je tiens à remercier de tout mon cœur tous les Petits Frères des Pauvres pour leur générosité et de m’avoir permis de revoir ma famille. Et un grand merci spécialement pour les bénévoles et la salariée qui me suivent et me soutiennent », sourit Dalila, 68 ans, accompagnée par l’équipe des Petits Frères des Pauvres des 8e et 16e arrondissements de Paris, qui a pu passer 3 semaines aux Philippines durant les fêtes en décembre 2018.

>> En savoir plus sur l’histoire de Dalila

Un espoir au bout du tunnel

Rita, aidée par les bénévoles après le décès de son mari. © Loïc Trujillo / Petits Frères des Pauvres

« Les Petits Frères des Pauvres m’ont sauvée de la mort après le décès de mon mari », répond humblement Rita, 81 ans, accompagnée par les équipes d’Ivry/Vitry/Villejuif (94).

Maryvonne a pu dire aurevoir à sa sœur malade

« J’ai eu pas mal de problèmes et les Petits Frères des Pauvres ont été là pour moi. C’est une grande famille. J’avais une sœur qui vivait en Alsace qui était malade et condamnée. Ils ont tout fait pour que j’aille voir ma sœur et lui dise au revoir. Sans les Petits Frères des Pauvres, je n’aurais jamais pu y aller, car c’était trop loin. », révèle Maryvonne, 76 ans, accompagnée à Nantes.

Aider Claudine dans sa dépression

Claudine prend un bol d'air pur à Damgan (56). © William Jézéquel / Petits Frères des Pauvres

« Ces vacances, cela m’apporte un sentiment de liberté et me permet surtout d’oublier ma grosse dépression. (…) Je remercie aussi les bénévoles qui arrivent à canaliser ma colère et m’aident avec ma dépression. Ils arrivent à me calmer et m’apaiser un peu en attendant que je sois comme il faut. », précise Claudine, 67 ans, durant un séjour de vacances à Ker Peheff (62).

 

 

 

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